Cette année j’ai un peu de retard sur la confection de ma maison en pain d’épices… Mais ça y est! la voilà!
Je l’ai voulue enneigée et un peu plus colorée que l’an passé. Sous le signe de la gourmandise et des bonbons, avec les couleurs très symboliques de ces fêtes de fin d’année : le blanc, le vert et le rouge.
Dans quelques semaines Noël sera là… et avec lui tout son cortège de cadeaux, de chocolats et autres délices…
Alors je commence déjà à tester et à réfléchir à toutes les gourmandises que je pourrais bien offrir à cette occasion.
Comme il me restait de la pâte pralinée, je me suis dis « qu’à cela ne tienne! je vais en faire des chocolats! »
Me voici donc lancée dans la préparation de rochers pralinés.
Le fondant du praliné, le croustillant du pralin et la douceur du chocolat au lait… Tous les ingrédients sont réunis pour en faire LA gourmandise de Noël!
J’ai toujours adoré manger le potiron sucré. Je trouve qu’avec une pointe de cannelle, quelques épices et des noix c’est absolument délicieux.
Mais ce n’est pas le cas de mon cher et tendre et j’en suis donc restée depuis quelques temps à des versions salées (veloutés, purées..).
J’ai profité d’un concours organisé par le blog cuisine et plaisirs ayant pour thème les tartes d’automne pour me remettre à cuisiner le potiron dans sa version sucrée.
Lorsque le froid s’installe, je recherche les parfums et les saveurs qui pourront nous apporter de la chaleur. Le pain d’épices fait, pour moi, partie de ces petites choses qui procurent douceur et réconfort en hiver, avec les notes chaudes et suaves des épices et du miel.
Je vous avais déjà proposé un pain d’épices l’année dernière.
En voici une autre version, parfumée à l’orange et avec des amandes en morceaux pour apporter du croquant.
Pas un gramme de sucre, juste du miel. Cela en fait un pain d’épices parfumé et à peine sucré.
Il a été très apprécié à l’école de mes enfants, j’espère donc qu’il en sera de même chez vous.
Je me suis récemment offert « Le grand manuel du pâtissier » aux éditions Marabout. C’est un livre magnifique avec des recettes particulièrement alléchantes dont je reprendrai probablement certaines (la nougatine notamment..).
En attendant, j’ai succombé en partie pour leur tarte tatin où les pommes ne sont pas entières mais tranchées en fines lamelles et posées sur un délicieux sablé breton. Je précise bien que j’ai succombé « en partie » à leur idée de tarte tatin car ils rajoutent, en plus des pommes, un crémeux vanille et un crémeux caramel. Mais pour moi, une bonne couche de pommes caramélisées et le sablé breton se suffisent amplement. Nul besoin de rajouter quoique ce soit.
J’ai donc simplement conservé l’idée de ces fines lamelles de pommes confites tout doucement dans du bon caramel.
Huummm les entremets… Cela faisait un bon moment que je n’en avais pas réalisé… Et pourtant c’est si facile à faire (même s’il y a beaucoup d’étapes, avec une bonne organisation et un peu de temps, il n’y a rien de compliqué).
J’ai donc sauté sur l’occasion qui se présentait du dernier repas avec ma sœurette avant son départ pour les Etats-Unis pour en faire un.
Je savais (pour avoir déjà fait un entremets choco-passion) que l’association chocolat et fruit de la passion fonctionnait à merveille.
Mais cette fois j’ai voulu rajouter encore un peu d’exotisme avec une dacquoise à la noix de coco et une touche de douceur avec une mousse à la vanille bleue de la Réunion.
